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Friday, April 20, 2012

Al Jazeera: Au tour de l'Algérie


Al Jazeera prépare un plan de désinformation contre l'Algérie 


Récidivant dans son rôle de chaîne subversive par excellence la chaîne qatarie Al Jazeera mijote son plan pour saboter les élections législatives en Algérie. N’étant pas autorisée à couvrir les événements à partir de l’Algérie, cette chaine machiavélique utilise des subterfuges pour parvenir à ses fins.

Nadine
Vendredi 20 Avril 2012


Des images montrant une manifestation de «soutien au peuple syrien» organisée à Hydra, sur les hauteurs d’Alger sont parvenues à Al jazeera. Ce qui prouve que cette chaîne subversive, a recruté des Algériens pour transmettre des images fabriquées de toute pièce pour ternir l’image de l’Algérie et faire croire à un mécontentement généralisé dans le pays. Ces techniques de manipulations de l’opinion mondiale sont souvent utilisées pour fabriquer une opinion négative et néfaste déjà utilisée dans des conflits qui ont marqué la région. Elles sont encore utilisées pour déformer la réalité en SYRIE, où les chaînes qatarie Al Jazeera, saoudienne Al Arabiya et française France 24 s’emploient à mener une campagne de désinformation sans précédent pour pousser au pourrissement dans ce pays du Moyen-Orient, ennemi juré de l’Etat hébreu.

Ces sources indiquent également qu’Al jazeera, que dirige un Algérien depuis le limogeage du Palestinien proche du Hamas, Wadah Khanfar, met à la disposition de ses éléments, des moyens de télécommunications sophistiqués et des micro-caméras faciles à dissimuler. Des indiscrétions révèlent que le correspondant clandestin d’Al Jazeera qui a envoyé les images de la manifestation de Hydra serait un journaliste algérien qui exercerait dans une rédaction locale. Les images passaient en boucle sur Al Jazeera Mubashir, avec une indication qui prouve que les images étaient transmises en direct. Al Jazeera utilise également d’autres subterfuges pour couvrir les événements en Algérie. C’est ainsi qu’en janvier 2011, alors que la rue grouillait et que plus de quarante organes de presse et télévisions étrangères s’étaient rendus en Algérie pour couvrir ce qu’ils espéraient être le prolongement des événements de Tunisie et d’Egypte, des journalistes algériens employés par Al Jazeera étaient rentrés au pays «pour quelques jours de congés». Mais la coïncidence était peu crédible, Al Jazeera ayant pu, comme par hasard, obtenir des images des manifestations qui secouaient la capitale. L’ancien ambassadeur tunisien à l’Unesco, Mezri Haddad, a d’ailleurs révélé lui aussi, formellement, que le Qatar œuvrait à la déstabilisation de l’Algérie et qu’il détenait des informations selon lesquelles ce pays «concentre ses efforts de déstabilisation actuellement sur l’Algérie».

Le poison d’Al Jazeera

Depuis de sa création, Al Jazeera promettait de marquer un virage à 360° dans l’histoire des télévisions arabes. La chaîne d’informations a été lancée en grande pompe au Qatar : « Nous sommes différents, et nous en sommes fiers. » Dès les premières minutes, le journaliste présentateur explique que la chaîne alternera franc-parler et informations brutes (c’est d’ailleurs le slogan de la chaîne : « Raai we Raai Akhar »). Une ligne éditoriale qui a valu à Al Jazeera, dès sa création, le surnom de « Fox News Arabe », en référence à la chaîne américaine de Rupert Murdoch, Fox News. Pensée par un proche de l’émir du Qatar, Al Jazeera veut s’opposer aux télés publiques arabes, rendues responsables de l’exode télévisuel des téléspectateurs arabes vers les grandes chaînes d’info américaines et européennes. Toujours plus radicale, la chaîne Al Jazeera s'est ouvertement muée en outil de propagande islamiste à la veille des élections législatives Algériennes, périlleuses par ses enjeux pour les Algériens. Et la concurrence? Elle s'adapte... parfois pour le pire. Face aux soupçons de partialité, la chaîne répond toujours la même chose : Al Jazeera pratique un journalisme à l'américaine, séparant nettement l'opinion (le soir) de l'info brute et impartiale (la journée). « Faux, réagit un observateur critique des médias arabes. Rien n'est neutre. Dès l'émission du matin, la chaîne définit l'agenda du jour et la manière dont les événements vont être traités. Et cette vision va être reprise en boucle par tous les autres shows. » « L’événement majeur est plutôt devenu un non-événement, remarqué pour ses décors bas de gamme et les tenues de ses animatrices plus que pour les affaires nationales », a commenté un chroniqueur. « Al Jazeera passe beaucoup de temps à lire les mails qui lui sont envoyés, ce qui est aussi excitant que ça en a l’air », raille un respectable quotidien arabe. Malgré tout, Al Jazeera croit que sa naissance a marqué l’histoire de la télé arabe.


Un nain dans un habit de géant

Au Qatar, mis à part l’émir, son épouse et leur zélé serviteur, le Premier ministre, il n'existe ni personnalité, ni écrivain, ni artiste, ni politicien, ni militant ayant marqué l'histoire par une œuvre, un acte de bravoure ou un savoir qui eût servi l'humanité. Ce petit Etat était composé de tribus primitives qui vivaient de la pêche et s’entretuaient pour les parcelles de terre les moins arides dans cette étendue désertique. Si la grandeur d'un Etat se mesure par son histoire, ses exploits, ses savants, ses personnalités, sa superficie et sa situation géographique, à quelle aune le Qatar se mesure-t-il ? Le passé et le présent de cet Etat lilliputien, qui ne dépasse pas les onze mille kilomètres carrés, démontrent que son peuple n'a jamais eu à décider de son sort par lui-même, depuis la création de cette entité jusqu'à nos jours. A part le gaz, dont il est le troisième producteur mondial, le Qatar ne possède aucun atout dont lui-même et le monde arabe pourraient tirer une quelconque fierté ; ce même monde arabe qu'il œuvre à morceler de connivence avec l’entité sioniste. L’histoire de ce pays commence lorsque des pêcheurs se sont révoltés contre le pouvoir des Al-Khalifa, le long de la bande côtière, la famille despotique s'en prit violemment à ses opposants en envoyant sa flotte marine pour les réprimer. La conséquence en fut l’éclatement de l’ancien émirat, par le fait des Britanniques, donnant naissance à deux pays minuscules, le Qatar et le Bahreïn. L’Etat nouvellement créé ne possédant pas de politiciens, les Britanniques jetèrent leur dévolu sur un commerçant du nom de Mohamed Ibn Thani, qui deviendra, plus tard, l’émir du Qatar au service de Sa Majesté. Ce déchirement entre ces deux entités n'a pas cessé jusqu'à l'intervention de la Grande-Bretagne au XIXe siècle, qui, occupa le pays sans rencontrer la moindre résistance. Les descendants Mohamed Ibn Thani, qui gouvernent le pays à ce jour, ont élargi leur servilité à l’Etat sioniste. Le Qatar n'a pas obtenu son indépendance en opposant quelque résistance farouche ou en menant une guerre de libération ; il a obtenu un réservoir de gaz des mains de la Grande-Bretagne lorsque celle-ci simula son retrait du Golfe, au début des années 1960. En somme, il n’y a ni gloire ni honneur dans ce pays gouverné par un nain dans un habit de géant.


1 comment:

Anonymous said...

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